À partir d’aujourd’hui, le port du masque « grand public » est obligatoire dans les lieux publics cl
À partir d’aujourd’hui, le port du masque « grand public » est obligatoire dans les lieux publics clos sur le territoire national pour toute personne âgée de 11 ans ou plus.
C’est dans notre intérêt à tous et plus pour éviter une contamination qu’une contravention! Sauver des vies, protéger les plus vulnérables, réduire la circulation du virus : c’est de notre civisme que dépend la santé de tous.
Dans le Jura nous avons des entreprises locales comme l’entreprise Kleslo de Lons le Saunier qui fabriquent des masques de très haute performance, labellisés #AFNOR, certifiés par la #DGA, très légers et agréables à porter, lavables 60 fois, entreprise qui a investi et créé des emplois jurassiens pour répondre à la sollicitation de l’Etat.
Jouons la solidarité locale, achetons à proximité, nos achats sont nos emplois!
Le port du masque grand public était déjà obligatoire, parfois avec des règles spécifiques à certaines activités, dans les établissements recevant du public (ERP) relevant des catégories suivantes (fixées par l’arrêté du 25 juin 1980) :
- Salles d’auditions, de conférences, de réunions, de spectacles ou à usage multiple, y compris les salles de spectacle et les cinémas.
- Restaurants et débits de boissons ;
- Hôtels et pensions de famille ;
- Salles de jeux ;
- Établissements d’éveil, d’enseignement, de formation, centres de vacances, centres de loisirs sans hébergement ;
- Bibliothèques, centres de documentation ;
- Établissements de culte ;
- Établissements sportifs couverts ;
- Musées ;
- Établissements de plein air ;
- Chapiteaux, tentes et structures ;
- Hôtels-restaurants d’altitude ;
- Établissements flottants ;
- Refuges de montagne.
- Gares routières et maritimes ainsi que les aéroports.
À compter de lundi 20 juillet 2020, s’ajoutent les catégories suivantes :
- Magasins de vente, centres commerciaux ;
- Administrations et banques.
Les marchés couverts ont également été ajoutés. Dans les autres catégories d’établissements, il peut, comme aujourd’hui, être rendu obligatoire par l’exploitant.
Crédit photo : Le Parisien